Environnement
Actuellement, les transports dépendent à 97% du pétrole. Par ailleurs, l’automobile représente 13% des émissions de CO2 dans le monde et 20% en Europe. Les grandes agglomérations sont saturées par les monoxydes et dioxydes de carbone (CO, CO2), les oxydes d’azote (NOx) et autres fines particules résultant de la combustion des carburants des voitures thermiques. Les conséquences sont importantes sur la qualité de vie.
Ainsi, au rythme des chocs pétroliers et au fur et à mesure de la prise en compte des enjeux environnementaux par les consommateurs et gouvernements, la voiture écologique est apparue comme une solution partielle mais crédible à certains troubles générés par le trafic routier. De nombreux programmes de développement d’automobiles propres ont été menés et des tests concluants réalisés.
Pourtant, force est de constater que la voiture économique et électrique, qui a souvent été présenté depuis un siècle comme l’innovation de la décennie, n’a toujours pas rencontré le moindre succès. La voiture écologique s’est toujours terminée par des échecs techniques ou commerciaux.